Bonnes et mauvaises heures

« Sicut umbra fugit hora »

« Fugit irreparabile tempus »
A Verdun-sur-Garonne, outre ces expressions mélancoliques, consacrées et courantes, légendant des cadrans solaires, on trouve une autre inscription (au moins) plus originale, semble-t-il, sur la douceur du temps qui passe :
« Hic lene fluunt », les heures sans doute (sur un bâtiment religieux semble-t-il)
On trouve « lene fluunt » à propos, notamment, de poèmes (« carmina » chez Boileau), de ruisseaux (« rivi » chez Casimire Sarbiewski, XVIIème siècle) ; Horace n’est pas loin.

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