L'amour délivre
L’amour délivre
L’amour délivre
«Puis une dame, à sa haute fenêtre,
LE VELOURS CÔTELÉ DES TENDRES EMBLAVURES
« […] la charité console, mais ne questionne pas :
Il se trouve des gens, dans notre époque de repères chancelants et d’esprit critique pour le moins émoussé, pour revendiquer le « droit au blasphème » en l’associant à la laïcité et au nom de la liberté d’expression. On ne s’occupera pas des raisons politiques ou politiciennes, plus ou moins claires, qui motivent cette revendication, mais du sens de l’expression elle-même, notamment dans le contexte de la laïcité. Elle est dangereuse, inconséquente et dénuée de pertinence.
Les plus lents à trouver l’explication ne sont pas forcément les plus bêtes, mais les plus enclins à accueillir le merveilleux. Et les prouesses technologiques actuelles ne confortent-elles pas cette impression de magie ?
Le dualisme, replié, peut mener au totalitarisme. Deplié, il peut conduire à la complexité.
« J’avais le vertige de voir au-dessous de moi, en moi pourtant, comme si j’avais des lieues de hauteur, tant d’années etc. » (M. Proust, dernière page du Temps retrouvé)
A écouter les interviews de tous ordres, on constate que la télévision a appris à communiquer ad nauseam, et non à parler.
La lecture d’un seul livre peut emprisonner, la lecture de plusieurs livres peut libérer. Et quand il y a trop de livres ?